Mon voyage en allemagne
Jour 1
Ouais, que dire d’une journée qui se passe entièrement en avion? Isabelle est venue me déposer à l’aéroport de mtl vers 20h00 dimanche soir. Le temps d’enregistrer mes baguages et de me faire fouiller, l’heure de l’embarquement est vite arrivée.
Je suis donc monté dans l’avion, un espèce de gros boing à 3 rangées de sièges. J’ai donc attendu le sommeil avec patience mais, il ne venait pas assez rapidement. J’avais prévu le coup en prenant un demi somnifère à l’aéroport mais, tout ce que ça me faisait c’était de me sentir vraiment vache, près à m’endormir mais sur une chaise de bois…
J’ai donc usé de patience et de bouts de sommeil pour finalement arriver à Paris. Dans le brouillard et les nuages, il n’y avait pas grand-chose à voir en arrivant. Je voulais regarder par le hublot à côté de mon co-passager mais, celui-ci bien endormis la bouche ouverte lâchait des bombes nauséabondes. Assez pour m’enlever l’envi d’aller encore me pencher près de lui.
En attendant à l’aéroport de Gaule à Paris, qui est en passant assez énorme, je me suis endormis sur une chaise dans une petite section relaxation. J’avais 2h à attendre avant le moment de l’embarquement j’ai donc réussi à m’endormir. Un peu plus, je dormais trop. Je me suis réveillé quelques minutes seulement avant l’embarquement. Le bruit des gens qui discutaient, celui des escaliers roulant et des voix qui annoncent les portes d’embarcations créaient un véritable coussin de sons propice l’isolement sonore du sommeil de l’enfant.
Je me suis donc levé, pissé un coup et sortir mon passeport pour sauter dans un petit autobus qui nous amena à un petit jet contenant 50 places environs. Méchante différence au niveau de la sensation du vol. C’était au moins ça de cool. Assis sur le bord du hublot, je me suis assoupi pendant quelques minutes. Assez pour passer la majorité du vol qui ne durait que 1h30.
Le ciel s’était éclaircit et j’ai pu admirer le design urbain des petites villes allemandes qui bordent Leipzip. Le paysage était très vert et agricole. De grand champs de rayures vertes et jaunes qui forment un espèce de grand damier, séparé par de la forêt coupée en bandes étroites. De plus de plus de maisons aux toits terre de sienne. Et ensuite l’atterrissage.
Je me suis tapé ensuite une bonne demi-heure de taxi avec une gentille chauffeuse qui ne connaissait pratiquement rien de l’anglais. Donc, sans trop de discussion, j’ai observé le décor défilé jusqu’à mon hôtel.
Nous avons croisés beaucoup de maisons abandonnées de très belles architectures. Je me suis rendu compte que mon hôtel n’était pas au cœur de la ville mais bien dans une banlieue éloignée. Donc rien à dire de spécial sur l’endroit jusqu’à maintenant. L’architecture est tout à fait pittoresque et la verdure très abondante. Ha oui, le soir, lorsqu’on marche sur le trottoir, il faut faire attention où l’on met les pieds. Pas pour éviter la merde de chiens mais plutôt pour éviter une armée d’escargot qui quittent les bois et passent se rafraîchir sur les pavés. Il est 1h20am. Donc douche et dodo pour moi. Demain, je vais aller me promener au centre-ville pour voir un peu plus de culture allemande.
p.s. Je vais poster des images plus tard car voyez-vous, me connecter sur l'internet ici me coute 8 euro pour 60 minutes... Donc à plus tard un peu l'attente de l'update des images sur le site ;)
Jour 1
Ouais, que dire d’une journée qui se passe entièrement en avion? Isabelle est venue me déposer à l’aéroport de mtl vers 20h00 dimanche soir. Le temps d’enregistrer mes baguages et de me faire fouiller, l’heure de l’embarquement est vite arrivée.
Je suis donc monté dans l’avion, un espèce de gros boing à 3 rangées de sièges. J’ai donc attendu le sommeil avec patience mais, il ne venait pas assez rapidement. J’avais prévu le coup en prenant un demi somnifère à l’aéroport mais, tout ce que ça me faisait c’était de me sentir vraiment vache, près à m’endormir mais sur une chaise de bois…
J’ai donc usé de patience et de bouts de sommeil pour finalement arriver à Paris. Dans le brouillard et les nuages, il n’y avait pas grand-chose à voir en arrivant. Je voulais regarder par le hublot à côté de mon co-passager mais, celui-ci bien endormis la bouche ouverte lâchait des bombes nauséabondes. Assez pour m’enlever l’envi d’aller encore me pencher près de lui.
En attendant à l’aéroport de Gaule à Paris, qui est en passant assez énorme, je me suis endormis sur une chaise dans une petite section relaxation. J’avais 2h à attendre avant le moment de l’embarquement j’ai donc réussi à m’endormir. Un peu plus, je dormais trop. Je me suis réveillé quelques minutes seulement avant l’embarquement. Le bruit des gens qui discutaient, celui des escaliers roulant et des voix qui annoncent les portes d’embarcations créaient un véritable coussin de sons propice l’isolement sonore du sommeil de l’enfant.
Je me suis donc levé, pissé un coup et sortir mon passeport pour sauter dans un petit autobus qui nous amena à un petit jet contenant 50 places environs. Méchante différence au niveau de la sensation du vol. C’était au moins ça de cool. Assis sur le bord du hublot, je me suis assoupi pendant quelques minutes. Assez pour passer la majorité du vol qui ne durait que 1h30.
Le ciel s’était éclaircit et j’ai pu admirer le design urbain des petites villes allemandes qui bordent Leipzip. Le paysage était très vert et agricole. De grand champs de rayures vertes et jaunes qui forment un espèce de grand damier, séparé par de la forêt coupée en bandes étroites. De plus de plus de maisons aux toits terre de sienne. Et ensuite l’atterrissage.
Je me suis tapé ensuite une bonne demi-heure de taxi avec une gentille chauffeuse qui ne connaissait pratiquement rien de l’anglais. Donc, sans trop de discussion, j’ai observé le décor défilé jusqu’à mon hôtel.
Nous avons croisés beaucoup de maisons abandonnées de très belles architectures. Je me suis rendu compte que mon hôtel n’était pas au cœur de la ville mais bien dans une banlieue éloignée. Donc rien à dire de spécial sur l’endroit jusqu’à maintenant. L’architecture est tout à fait pittoresque et la verdure très abondante. Ha oui, le soir, lorsqu’on marche sur le trottoir, il faut faire attention où l’on met les pieds. Pas pour éviter la merde de chiens mais plutôt pour éviter une armée d’escargot qui quittent les bois et passent se rafraîchir sur les pavés. Il est 1h20am. Donc douche et dodo pour moi. Demain, je vais aller me promener au centre-ville pour voir un peu plus de culture allemande.
p.s. Je vais poster des images plus tard car voyez-vous, me connecter sur l'internet ici me coute 8 euro pour 60 minutes... Donc à plus tard un peu l'attente de l'update des images sur le site ;)
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